في يوم و ليلة- وردة (En une journée et une nuit- Warda) Fi youm ou lila.
كلمات الشاعر حسين السيد
الحان محمد عبد الوهاب
فى يوم و ليلة خدنا حلاوة الحب كله
فى يوم و ليلة أنا و حبيبى دوبنا عمر
الحب كله فى يوم وليلة عمرى ما شفته
و لا قابلته و ياما شغلنى طيفه نسيت الدنيا
و جريت عليه سبقنى هو وفتح يده لقينا
روحنا على بحرالشوق نزلنا نشرب و دينا
فيه و مين يصدق يجرى دا كله و نعيش
سوا العمر كله فى يوم وليلة
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ياللى كان طيفك على بالى و أنا بأتمناك مش حتصدق
إيه كان حالى قبل ما القاك كنت بأحسد كل
فرحة أشوفها بين قلبين كنت أغير من أى
نسمة حلوة بين حبيبين
و لما صحيت على حبك و شفت الدنيا من عندك
بأتمنى لو كل العشاق يحبو زى انا ما أحبك
يا حبيبي كنت واحشنى من غير ما شوفك و تشوفنى والقدر
الحلو أهو جابنى و جابك تقابلنى أتارينا كنا تايهين
و لفينا أجمل أيام ليالينا و إحنا فيها لوحدينا
و مين يتصور يجرى دا كله
و نعيش سوا العمر كله فى يوم وليلة
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قالولى أهل الهوى : ياما فيه قلوب مجاريح و حبك
أنت و أنا حيشفى كل جريح بيسألونى لو غبت
عنى أو رحت منى أعمل إيه أحب تانى ؟
مش ممكن أقدر تعرف يا روحى ما أقدرش
ليه هو اللى زيك لو كان فيه زيك فى الدنيا
حد يحب عليه ؟ دى كل حاجة إتغيرت قدام
عينيه و كل شئ فى الدنيا حلو ، أقول و أى
حاجه ألمسها تحلو فى إيديه وده من ساعة
حبك ما جه و سلم على يا حبيبي يا حبيبي كنت
واحشنى من غير ما أشوفك و تشوفنى و القدر
الحلو أهو جابنى و جابك علشان تقابلنى
اتارينا كنا تايهين و لقينا أجمب أيام ليالينا
و إحنا فيها لوحدينا
رائعة الفنانة وردة فى يوم و ليلة
غناء الفنانة الجميلة وردة الجزائرية
كلمات الشاعر حسين السيد
الحان محمد عبد الوهاب
في يوم و ليلة- وردة (En une journée et une nuit- Warda) Fi youm ou lila. كلمات الشاعر حسين السيد الحان محمد عبد الوهاب
De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise : Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
C'est des beaux yeux derrière des voiles, C'est le grand jour tremblant de midi, C'est, par un ciel d'automne attiédi, Le bleu fouillis des claires étoiles !
Car nous voulons la Nuance encor, Pas la Couleur, rien que la nuance ! Oh ! la nuance seule fiance Le rêve au rêve et la flûte au cor !
Fuis du plus loin la Pointe assassine, L'Esprit cruel et le Rire impur, Qui font pleurer les yeux de l'Azur, Et tout cet ail de basse cuisine !
Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! Tu feras bien, en train d'énergie, De rendre un peu la Rime assagie. Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ?
O qui dira les torts de la Rime ? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime ?
De la musique encore et toujours ! Que ton vers soit la chose envolée Qu'on sent qui fuit d'une âme en allée Vers d'autres cieux à d'autres amours.
Que ton vers soit la bonne aventure Eparse au vent crispé du matin Qui va fleurant la menthe et le thym... Et tout le reste est littérature.
Autrefois pour faire sa cour On parlait d'amour Pour mieux prouver son ardeur On offrait son coeur Aujourd'hui, c'est plus pareil Ça change, ça change Pour séduire le cher ange On lui glisse à l'oreille (Ah? Gudule!)
{Refrain 1:} Viens m'embrasser Et je te donnerai Un frigidaire Un joli scooter Un atomixer Et du Dunlopillo Une cuisinière Avec un four en verre Des tas de couverts Et des pell' à gâteaux
Une tourniquette Pour fair' la vinaigrette Un bel aérateur Pour bouffer les odeurs
Des draps qui chauffent Un pistolet à gaufres Un avion pour deux Et nous serons heureux
Autrefois s'il arrivait Que l'on se querelle
L'air lugubre on s'en allait
En laissant la vaisselle
Aujourd'hui, que voulez-vous La vie est si chère On dit: rentre chez ta mère Et l'on se garde tout
(Ah! Gudule) Excuse-toi Ou je reprends tout ça. Mon frigidaire Mon armoire à cuillères Mon évier en fer Et mon poêl' à mazout Mon cire-godasses Mon repasse-limaces Mon tabouret à glace Et mon chasse-filous
La tourniquette A faire la vinaigrette Le ratatine-ordures Et le coupe-friture
Et si la belle Se montre encore rebelles On la fiche dehors Pour confier son sort
Au frigidaire À l'efface-poussière À la cuisinière Au lit qu'est toujours fait Au chauffe-savates Au canon à patates À l'éventre-tomates À l'écorche-poulet
Mais très très vite On reçoit la visite D'une tendre petite Qui vous offre son coeur
Alors on cède Car il faut bien qu'on s'entraide Et l'on vit comme ça Jusqu'à la prochaine fois
quatre et quarte huit huit et huit font seize… Répétez ! dit le maître Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Mais voilà l’oiseau lyre qui passe dans le ciel l’enfant le voit l’enfant l’entend l’enfant l’appelle Sauve-moi joue avec moi oiseau ! Alors l’oiseau descend et joue avec l’enfant
Deux et deux quatre… Répétez ! dit le maître et l’enfant joue l’oiseau joue avec lui…
Quatre et quatre huit huit et huit font seize et seize et seize qu’est-ce qu’ils font ? Ils ne font rien seize et seize et surtout pas trente-deux de toute façon ils s’en vont.
Et l’enfant a caché l’oiseau dans son pupitre et tous les enfants entendent sa chanson et tous les enfants entendent la musique et huit et huit à leur tour s’en vont et quatre et quatre et deux et deux à leur tour fichent le camp et un et un ne font ni une ni deux un à un s’en vont également. Et l’oiseau lyre joue et l’enfant chante et le professeur crie : Quand vous aurez fini de faire le pitre
Mais tous les autres enfants écoutent la musique et les murs de la classe s’écroulent tranquillement Et les vitres redeviennent sable l’encre redevient eau les pupitres redeviennent arbres la craie redevient falaise le port-plume redevient oiseau.
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
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